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Les viguiers

Notre histoire

 

Damien et Mathias, vos « Viguiers » comme ils se surnomment ont longuement réfléchi à la création de leur restaurant. Celui-ci est né en 2020 et La Viguière d’Alby a repris son envol. Une renaissance et une grande aventure qui a très bien commencé.

Mais avant tout entre nos deux Viguiers, c’est une grande histoire d’amitié. Ensemble, ils ont fait les 400 coups, mais ils ont aussi imaginé un lieu à leur image, convivial, accueillant, où chaque plat respire le bonheur.

Damien

à l'accueil et au service

 

Le sourire avant tout, toujours un mot pour accueillir et prendre soin de ses hôtes. Damien tient d’une main de maître les rennes de l’accueil et du service. A la manière du génie de la lampe, dans les comptes des Milles et Une Nuits, il saura exaucer vos souhaits pour que vous vous sentiez le mieux possible.

Mathias

à la cuisine

 

Son crédo, ce sont les produits frais et de qualité, qu’il sélectionne rigoureusement. La viande, le poisson, les fruits, légumes et assaisonnement sont tous « testés et approuvés » pour une expérience culinaire parfaite. Et c’est dans la transformation de ces superbes produits que Matthias montre toute son originalité et son talent. Un petit bonus pour les desserts, puisque c’est LA spécialité du chef !

 

La Viguière

Qui était-elle?

Antoinette de Saliès, née Antoinette de Salvan en 1639, morte le 14 juin 1730 à Saliès, est une écrivaine française originaire d’Albi.

 

Elle se désignait « la petite muse d’Albi », dite aussi « La Viguière d’Alby » car elle avait épousé le viguier Antoine de Saliès. À la mort de celui-ci elle s’adonna à l’écriture romanesque (roman historique), poétique et épistolaire tout en assurant l’éducation de ses enfants.   En 1704 elle fonda la Société des chevaliers et chevalières de la Bonne-Foi, société littéraire voici le premier statut :

 

« Une amitié tendre et sincère,

Plus douce mille fois que l’amoureuse loi,

Doit être le lien, l’aimable caractère

Des chevaliers de Bonne-Foi. »

Elle avait l’ambition de créer une « nouvelle secte de philosophes en faveur des dames » et était convaincue de l’égalité des sexes.